Mi-Carême 1924 : la montée penible du franc
Char de la mi-carême 1924 à Nantes, une femme déguisée en Semeuse s'affiche sur un fond circulaire pour finaliser la pièce de monnaie.
En pleine crise monétaire, le retour d'un franc à sa valeur d'avant guerre, plombé par le coût de la guerre, est encore considéré comme possible : l'Allemagne paiera. Les monnaies divisionnaires en argent ne sont plus frappée depuis 1920 (celles de cinquante centimes, 1 et 2 francs au type Semeuse). Quelques années plus tard en 1928 le franc Poincaré sera dévalué à un cinquième de sa valeur de 1914.
La mi-carême est une fête qui a disparu dans la plupart de la France métropolitaine dans les années 1950, elle est toujours fêtée aux Antilles ou au Québec.
En pleine crise monétaire, le retour d'un franc à sa valeur d'avant guerre, plombé par le coût de la guerre, est encore considéré comme possible : l'Allemagne paiera. Les monnaies divisionnaires en argent ne sont plus frappée depuis 1920 (celles de cinquante centimes, 1 et 2 francs au type Semeuse). Quelques années plus tard en 1928 le franc Poincaré sera dévalué à un cinquième de sa valeur de 1914.
La mi-carême est une fête qui a disparu dans la plupart de la France métropolitaine dans les années 1950, elle est toujours fêtée aux Antilles ou au Québec.
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