Qui suis-je ?
On me retire une lettre, je ne change pas.
On me retire deux lettres, je ne change pas.
On me retire trois lettres, je ne change pas.
On me retire toutes mes lettres, je ne change toujours pas !
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Réponse
Des actualités, des articles et de l'humour sur la philatélie et La Poste.
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Libellés : humour
Libellés : PAP
La série de Grande-Bretagne de timbres sur les Beatles confirme son immense succès : après des ventes record en Grande-Bretagne, la série a été mise en vente au Canada dans les bureaux de poste (malgré que ces timbres ne soit utilisables qu'en Grande-Bretagne). C'est maintenant au tour de la Nouvelle-Zélande de proposer ces timbres dans ses bureaux de poste !
À noter que comme la poste française, la Royal Mail ne "timbrifie" normalement pas les vivants (à l'exception du souverain anglais). Cette règle est de moins en moins respectée (y compris en France).
Communiqué de presse de la Royal Mail
Annonce pour la Nouvelle-Zélande
Hélène-Annie Lavoie dans CapAcadie nous conte la nécessité de l'email, la ringardise du fax, et ses problèmes - prix et délais - avec Postes Canada...
Ça existe en France, mais pas seulement (ici en Grande-Bretagne) ! Il s'agit de réclamer le port insuffisant à l'expéditeur professionnel, au lieu de le réclamer au destinataire avec les aléas que cela comporte...
C'est aussi une réponse aux affranchissements en franc voulant passer pour des euros que des professionnels de la philatélie ont pu pratiquer ! En effet, lorsqu'il était question de la démonétisation des timbres en franc(s), La Poste prenait comme exemple un marchand de timbre - démissionné de la CNEP - qui avait envoyé ses catalogues avec des timbres en francs (mais non pas au montant exact après conversion, mais au bon montant mais en francs !) : résultat, un recouvrement coûteux et aléatoire auprès des destinataires...
Le fait de faire payer ses erreurs à l'expéditeur permet de n'avoir qu'un seul recouvrement, une garantie de percevoir la taxe (au simple prix de l'affranchissement certes) et donc au final l'expéditeur paye pour ce qu'il a expédié !
À noter que l'important semble être l'expéditeur (professionnel et non pas particulier), et non pas la manière dont l'envoi est affranchit : il s'agit le plus souvent de l'utilisation d'une machine à affranchir, mais il y a des exemples (peu nombreux) d'affranchissement par timbres-poste.
Libellés : histoire postale
Je viens de trier un peu de courrier d'entreprise, et il faut constater que les timbres (et les PAP) ne sont qu'une faible minorité des affranchissements. On peut le regretter, mais on peut aussi regarder les empreintes de machines à affranchir (EMA), même quand on n'y connait pas grand chose sur le sujet, et mettre des choses de côté...
Libellés : EMA, histoire postale