Faire avancer les connaissances en philatélie
(...)Pour faire avancer les connaissances en philatélie, on ne dira jamais assez à quel point il est utile et indispensable de publier ses découvertes et celles de ses amis. Il y a là un devoir démocratique élémentaire envers l'ensemble de nos frères collectionneurs. Il faut alors publier, notons-le, en disant ce qu'on sait d'une question étudiée et surtout préciser ce qu'on n'en connait pas.Cet extrait d'un article publié dans le Monde des Philatélistes n°316 est signé de Pierre de Lizeray, qui a bien du découvrir à lui tout seul 80% des types des timbres typographiés.
Tout d'abord, il n'y a rien de péjoratif à dire ce qu'on sait et il n'est nullement honteux de ne pas avoir ce qu'on ne sait pas. Le dire nettement est au contraire de la plus élémentaire et naturelle honnêteté.
Dire ce qu'on ne sais pas est, de plus, une sorte d'appel, une incitation à d'autres de bien vouloir nous compléter en examinant leurs pièces analogues, et en voici un exemple (...).
J'avais commencé à faire un commentaire long, mais ce texte exprime bien l'intérêt de faire un blog ou un site web (ou de participer en envoyant informations et scans !) : c'est facile, gratuit (ou presque), et ça fait parfois avancer les connaissances en philatélie !
1 commentaire:
100% d'accord avec ce Maître de la philatélie.
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