13 mars 2011

Code FIM FRAF

Nouveau venu dans la famille des codes FIM, le FRAF (merci RS). Le FRAD était utilisé sur les TPMac, ce qui est ici le cas aussi (mention BAL). Ce code étant lu par les MTP, il s'agit peut-être de différencier entre lettres écos et prioritaires ? À noter que la mention FRAD n'apparaît pas toujours sur les TPMac, donc le code FRAF a pu apparaître aussi sans la mention.

6 commentaires:

Lulu a dit…

Bonjour,
Ce code FIM (F) a déjà été utilisé pour des essais de redressage par contraste optique sur Toshiba TSC 1000 (ou simplement MTP : machine de tri préparatoire), le 26-01-07 à l'occasion de la visite du président Bailly à la DTC de Nantes. À l'époque, ce code n'avait aucune signification particulière.
Ceci étant, il reste à déterminer la signification qui lui est attribuée dans cette empreinte… à moins que ce soit une erreur.
(L'absence de la mention FRAD sous le code FIM dans les empreintes dites BAL est admise dans le cas où la hauteur totale de l'empreinte ne dépasse pas 24 mm. Actuellement, sauf erreur, les seules machines présentant cette particularité sont les machines type BS de Sécap Groupe Pitney-Bowes).
Lulu

Anonyme a dit…

Dominique,

Est-ce un nouveau dialecte breton ?

Beaucoup de lecteurs ne doivent pas comprendre un traitre mot de ce que tu (d)écris.

Franc.K

Lulu a dit…

Je réponds à la place de Dominique.
Il faut quand même essayer de se tenir au courant !
Il s'agit ici d'empreintes de machines à affranchir dites abusivement BAL, qui comportent une empreinte FIM, réduite, dans le cas du modèle BS de Sécap groupe Pitney-Bowes, au seul code FIM (code-barres).
Pour mémoire, ces codes et/ou empreintes FIM existent depuis août 2002, donc depuis plus de huit ans. Il est temps de s'y mettre, d'autant plus qu'on les trouve sur de nombreux supports !
Lulu

Laurent Bonnefoy a dit…

Dominique,

Un peu de pub pour le tome II de l'ouvrage d'Yvon Nouazé (lien avec la site de la FFAP par exemple) permettrait à ceux qui ne le connaîtraient pas encore de le commander et de comprendre tous ces codes.

Anonyme a dit…

le breton est une langue , par contre le dialecte des philatélistes ...

Michel Krempper a dit…

Bonjour,
Bien qu'il soit totalement immodeste de se citer soi-même, je me dois d'indiquer ici qu'en plus de l'excellent ouvrage d'Yvon Nouazé mentionné par Laurent Bonnefoy, la presse philatélique s'est aussi intéressée au sujet: c'était sous ma signature, dans l'Echo de la Timbrologie de janvier 2010 n°1836 sous le titre "Code FIM, importé des Etats-Unis". Article par ailleurs mis en ligne dans le blog de l'Amicale Philatélique de Nanterre APN92.
A croire que les philatélistes d'aujourd'hui ne lisent plus les publications qui leur sont destinées?